mercredi 29 février 2012

Tony G. 2

Je crapahute sur le lit. Mon peignoir est largement ouvert sur ma nudité.

Il n'y a pas de musique dans cette chambre? 
Je n'ai pas trouvé de station de radio sur la télé, me répond-il.
Fais voir la télécommande...

Je m'en saisi et pars m'installer à genoux, les coudes posés sur le lit, les fesses en arrière face à la télé. 

Pfffff... Je ne suis pas plus douée que toi, on dirait... Je ne trouve rien et je ne sais pas pourquoi mais, je n'ai pas très envie de regarder Gulli.
C'est pas grave, je dois avoir quelques titres sur mon iphone et il y a une base sur le bureau derrière le lit...
Hum, intéressant cette musique... Tu es fan de musique, heu... Différente?
Nan, c'est ma mère qui écoute ça et ça s'est foutu sur mon téléphone lors d'une synchronisation.

Nous avons donc passé une grande partie de la soirée avec ce genre de sons dans les oreilles. Mais en pire. Autant dire que ça a donné lieu un certain nombre de plaisanteries et de fous rires...

Il se réinstalle confortablement sur le lit. Je le rejoins et me pose à genoux à côté de lui. Il dégage mes seins de mon peignoir d'une main.

Tu as des seins magnifiques.
Merci. Je les trouve pas mal sauf mes aréoles que je trouve vraiment trop grandes. Je rêve d'en avoir de toutes petites. En même temps, je suis une fille donc toujours insatisfaite.
Tu as raison mais moi, je les trouve splendides me dit-il en s'approchant pour venir poser ses lèvres dessus...

Je le laisse faire en dégageant mes épaules du vêtement. Il joue quelque instant avec mes tétons puis recule en me disant:

Mais, tu n'avais pas les deux seins piercés la dernière fois?
Non. Tu dois confondre avec mon autre piercing...

Je me recule sur le lit et écarte largement les jambes pour lui (re) dévoiler le bijou que je porte sur le capuchon du clitoris.

C'est joli, non?
Oui...

Ses doigts viennent jouer avec mon piercing. Ils glissent sur mes lèvres pour retourner chatouiller mon clito. Forcément, je suis déjà très humide.

Allonge-toi me dit-il et me poussant une épaule.

J’obtempère en me débarrassant complétement de mon peignoir.


A suivre...

mardi 28 février 2012

Tony G.

Je l'ai rencontré lors d'une soirée à laquelle nous avions été invités par de parfaits inconnus, Dédé et moi. Quatre couples dans la garçonnière d'un homme.
Excellent souvenir que cette soirée. Beaucoup de rires, de malice, des gens s'amusant et un tsunami sur le lit de notre hôte à cause Tony G. que ma capacité à être fontaine semblait ravir.

Quelques jours plus tard, il me contactait via nétéchangisme pour me confirmer que notre rencontre l'avait charmé et qu'il aimerait beaucoup me revoir dans un contexte moins peuplé dirons-nous. Ce que j'acceptais avec plaisir.

Nos agendas pour le moins chargés et parfois complexes nous ont laissé le temps d'échanger un peu, de faire plus ample connaissance et de constater que nous avions lui et moi le même humour désastreux. C'est ainsi que Tony G(landyle) et Barbara G(ourde) sont parvenus à fixer un rendez-vous... C'était hier soir.

Il est 19h35. J'ai rendez-vous à 21h à l'autre bout de Paris. Mes affaires ne sont pas prêtes et je suis en train de déconner sur le net avec mes copines (Salut les filles!) qui suivent mes aventures un peu comme elles suivraient une série télé. Je suis à la fois excitée et en même temps quelque peu anxieuse. Et si, malgré ce que je perçois de Tony, c'était un gros pervers? Et si au bout d'une demi-heure je me retrouvais ligotée comme une paupiette et que je finissais coupée en rondelles au fond de la Seine? Et si, et si, et si... 
A un moment, je doute et je suis à 2 doigts de ne pas me rendre au rendez-vous.

Et puis zut! Je n'ai qu'une vie! J'y vais. De toute façon, mon meilleur ami et Dédé savent où je suis. Je n'aurai qu'à leur communiquer le numéro de la chambre et à garder mon téléphone à portée de main au cas où...

A 20h20, je finis tout juste de préparer mes affaires. Je ne me suis même pas changée. Après tout, ma robette patineuse noire associée à mes escarpins rouges vernis risquent de voler rapidement... Donc, à quoi bon. Aller, je fais un effort, je troque mon collant contre une paire de bas...

Il est plus que temps de partir...

Par chance et les vacances scolaires aidant, il n'y a pas d'embouteillages... Je trouve sans encombre l'hôtel dans lequel Tony nous a réservé une chambre et par miracle, je parviens à garer ma voiture à deux pas.

Il est 21h. J'envoie un texto à mon meilleur ami pour lui indiquer mon arrivée. Un autre à Dédé lui disant que je suis dans le rue de l'hôtel.

Je suis arrivée. J'appelle Tony pour lui signaler ma présence. "Je sors tout juste de la douche. Je viens te chercher..." Bizarre. Je suis certes petite mais tout à fait apte à prendre l’ascenseur seule. Il suffisait de me donner le numéro de la chambre! Bref. Je nous pose, mon sac et moi, sur l'une des banquettes du lobby.

Cinq minutes plus tard, il est (enfin) là. Bonjour, comment vas-tu, bise, sourires et petit moment de flottement. 

Tu veux que je prenne ton sac?
Oui, s'il te plait.

Direction le sixième étage...

Je découvre une très jolie chambre au design moderne. Un énorme lit trône au milieu de la pièce. Les murs sont couverts de plaques de pierres ressemblant un peu à de l'ardoise. Tony s'assied sur le lit. Lorsque je passe près de lui, il m'agrippe pour m'attirer à lui. Il passe ses mains sur mes fesses, les remonte vers ma poitrine et m'embrasse à pleine bouche.

Je suis ravi que tu sois là, petit bout de femme étonnant.
Je suis ravie d'être là... Mais, si ça ne t'ennuie pas, je vais aller me rafraichir.Ca le fait sourire.

Il semble plus ou moins découvrir l'endroit en même temps que moi en ouvrant toutes les portes qu'il trouve. 

Ah, tiens, les peignoirs sont là. Ça sera parfait pour descendre au spa tout à l'heure.Tu veux boire quelque chose?
Oui. Il y a quoi dans le mini-bar?
Pas grand chose... Je vais faire monter du champagne, ça sera mieux.
Ok, ça me va.
Viens, la salle de bain est là...
Elle est spacieuse. On y trouve le même revêtement mural que dans la chambre et surtout une énorme baignoire ronde.
Je file récupérer un peignoir. Il me suit en parlant et en plaisantant sur ma perte d'altitude lorsque je retire mes escarpins. C'est certain, avec 12 centimètres de talons en moins, je suis beaucoup moins grande!
De retour dans la salle de bain, j'entreprends de retirer lentement mes bas en m'appuyant sur le rebord de la baignoire. Je sais ce qui marche avec vous messieurs...
Puis, c'est ma robe que j'ôte.

Jolie lingerie.
Je te remercie. 

Et c'est vrai que cet ensemble noir de chez Chantal Thomass est bien joli. C'est celui que je porte quand j'ai envie d'être sexy mais que je ne me sens pas au top dans mon corps.

Je dégrafe mon soutien-gorge au moment où le champagne arrive. Lorsque Tony revient, je suis nue au milieu de la baignoire.
Il m'observe, je lui souris sans un mot et en continuant de me savonner.

Il quitte la pièce au moment où j'attrape une serviette pour  me sécher. J'enfile mon peignoir que je laisse sciemment ouvert et le rejoins dans la chambre. 
Il m'y attend sagement étendu sur le lit.
Il se lève pour me tendre une coupe. Nous trinquons à notre soirée...


A suivre...